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Famille ou mre perverse de Montral

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J'ai un dernier fantasme non réaliser que j'aimerais vivre.Ce groupe vise à rechercher les personnes qui pourront m'aider à le vivreJe le considère comme le tabou des tabous - Baiser avec une mère et son fils et/ou sa fille , tous bisexuels et ages de plus de 18 ansFamille (régulière ou monoparentale) qui parle de sexe ouvertement et quasi sans limite avec les autres membres de votre famille immédiate de 18 ans et plus....Nudisme, naturisme, échangisme, triolisme et toutes les autres formes de sexualités possibles du plus vanille a la plus perverse des perversions...C'est vous que je cherches - J'aimerais beaucoup vous parlez et/ou vous rencontrezVous croyez être capable de relever mon défi....contactez moi...et la suite...nous y verrons..:))))

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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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VirginieSnini
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07 Jun 2013 2:04PM
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Je m'appelle Virginie, j'ais 49 ans, je suis folle de bites, j'aime le sperme et le gout du sperme. J'aime sucer, et recevoir la foutre sur moi, lécher le sperme, l'avaler pour son bon gout. J'aime les jeunots, cette bite qui se dresse devant moi pour que je la suce. Cette bite qui se dresse devant qui m'excite, bien dure, il me la fourre dans ma chatte et se met à ramoner mon minou pour jouir dedans, sentir se liquide chaud au fond de mon trou. J'aime la queue jeune, le sperme des jeunes qui me gicle sur le visage. Je suis une salope, pétasse blonde, pour les jeunes que j'excite.
J'aime les adolescents, le sperme de gamin m'excite, j'aime leurs bites. J'aime sucer plusieurs bites à la fois, j'aime quand plusieurs queues se mettent à jouir sur moi, j'aime me faire recouvrir de sperme, j'aime me mettre à 4 pattes comme une chienne pour lécher tout le sperme qu'il y aura sur le sol. Je suis une chienne mature pour les très jeunes bites dès qu'ils sont capables de bander et me jouir dessus je m'en fou de son age, des l'instant ou il se fait plaisir il peut avoir cela ne me dérange pas puisque si il y bande c'est qu'il veut et peut me sauter. Fan de gamin en âge de jouir, chienne à queue.
Je me suis fais sauter par un un ado de même pas majeur rencontré en boite de nuit en début d'année, il bandait bien, il était jeune et beau, sa bite voulait être sucée, nous étions en boite et je lui ais proposé d'aller dans les toilettes pour le sucer, il devenu fou, trop content de se taper une vieille, il me suiva. Je lui ais montré mes seins et enlevé mon haut qu'il les touche, les tripote, les léche Je sorti sa bite de son pantalon elle était dure mais en quelques secondes quand j'ai commencé à lécher son pénis et ses boules il a bander encore plus dure. En 5 minutes je me suis retrouvé avec la bouche rempli de foutre, j'ai ouvert la bouche pour lui montrer et j'ai avalé. Il me dit "qu'elle coquine". Connaissant ses copins il me demanda si j'avais envie de sucer ses potes aussi, il me dit qu'il y en a plus jeune que lui et plus vieux aussi. Ils étaient 6, je lui ais dit ok, qu'ils viennent l'un après l'autre, si ils veulent se faire sucer par une mature. Ils sont tous venus j'ai bu pas mal de sperme ce soir là, et en plus que des jeunots, sur le dernier avant qu'il arrive je me suis entièrement déshabillée, je n'ais pas pu résister, je lui ais demander de me baiser aussi. Une soirée inoubliable.

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upsol7
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10 Jul 2015 1:23PM
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Memories (Part I)

I am going to tell you a story about the hottest girlfriend I have ever had, so expect this to be quite drawn out. I would hate for you to misunderstand why --after several years after she passed, I now being married to another woman, and having two kids still often think of her.
Several years ago, I had a plump, dark-haired, and very freckled girlfriend who used to take double the normal prescribed dose of Soma and Darvocet for her chronic back and neck pains. We had a lot of good times when she was fucked up on that; I remember once, I was laying on my stomach, and she climbed on, and started massaging my back, her ample thighs were hot on the small of my back, and the massage was accentuated with her warm, soft hands. After about 10 minutes, she asks how that felt, "All better?" Hell's yeah, it felt great! She rolled over to my side on her side of the bed, and I notice this cooling spot just above the small of my back...she had left a 'snail-trail.' I didn't realize that she was also moving her hips while massaging my back, grinding and mashing her vulva onto me. I still get worked up thinking of that night.
A few months later, she takes her Soma and Darvocet, and I know something is going to happen that night, but it was late and we both fall asleep in bed, I always slept naked, but she wore only a loose-shouldered, full-length night gown that accentuated her curves and enabled a nice view of her shoulders and deep cleavage. In case I haven't mentioned it, she had freckles EVERYWHERE, and wore this perfume (Opium) that I swear was made with pheromones, but it was the way she smelled when wearing it, a heady combination of 'at-the-end-of-the day' sweat and the sweetness of the perfume --it makes me excited thinking about her.
So, clearly, I woke up --smelling her in the middle of the night, sleeping peacefully. I thought I would wake her up with a surprise, so I forced her legs apart, gently and slowly --pinning them open with my own legs. I began to finger her thinking that she would wake up, but she didn't. Instead, she started gyrating her hips and got incredibly wet. My cock was hard and I couldn't wait any longer. I disentangled my legs and climbed between hers, slamming into her. Her face was beautiful, and there was no reaction to what I was doing, but she was rubbing my chest with her hands and moaning, raising her hips with each trust. I asked her if she was awake, and her eyes opened slightly and then rolled-up. I had a slight moment of panic, so I stopped and opened her eyes with my hand; they were rolling around --she was unconscious and doing all of this. I came right at that moment of realization. After a few minutes, I climbed off of her, and watched. Nothing. She was laying there, legs spread, with my cum running down into her ass crack, her pussy was open and swollen, flushed-red with arousal. Slowly, she ran her hand down her body and into her vagina, playing with it for a few seconds before laying still again. After a few minutes she retracted her hand and I was able to pull her nightgown down again, and then I went to sleep.
The next morning, she's up, and at breakfast, I make a joke about how well she slept, that she had fondled me during the night; she didn't believe me or take me seriously and said that she slept well.
I carried on doing that for months, she would do almost anything while she was fucked up on this stuff, slow hand-jobs, blow jobs, she even let me throat-fuck her --had to do that quickly so that she wouldn't choke to death on my dick.
One day, I found out about one of our neighbors --I'll call him Donny here. Donny was married to this mostly-toothless, chain-smoking hag, completely repulsive...except for a perfect ass. I found out that before I moved in, Donny had the hots for my girlfriend; from what I understand, she had even caught him peeking into the windows one night, but had chased him off. He was married, after all.
So, one night --after she had passed out, I caught this motherfucker staring in at her while she slept. He didn't see me, so I snuck out of the house, and into the back yard. I walked up on him, and he didn't even hear me. He was too busy jerking his gherkin. I pushed him against the wall, and asked him, "What the fuck are you doing?" The poor bastard must have been at the peak, because he blew his load, with his cock crushed between him and the wall; his spunk ran down his leg, into his pants. The cornered son-of-a-bitch was fucking panicking like a baby. I felt bad for him in a weird way, so I let him get his shit together...an idea was in the back of my head and making itself known. I dragged him inside, sat him down on the couch and poured him a drink, straight whiskey. I asked him what he would do in my place. I laughed and shook my head in some sort of pseudo-disappointment. All the while, I was imagining this scuzzy-looking guy fucking my girlfriend.
He begged me not to call the cops. My thoughts finally gave way, and I told him to follow me. We walked to the bedroom where my sweet-smelling girlfriend was sleeping. I thought I would have a little fun with him, so I told him to stay outside the room, but not to run, or I would call the cops. He looked scared, thinking I was going to wake her up. I watched his face while I moved the blanket, and exposed her legs. He froze, like a dog waiting to perform a trick for a treat at the end of his nose. I walked back over to him and asked quietly, "What would you do to see more?" I felt like the devil, dragging a soul to hell...and I began to smile...I thought to myself, "I have the goatee and moustache, after all...why not!" He stared at me, wide-eyed, and started talking, "I have some mon --!" I had to silence him and remind him to speak in a whisper. I told him to hold that thought and watch for a moment while walking back to the bed...my girlfriend was out like a light, so I completely removed the blankets and eased her shoulders out of the gown and tugged the gown down, exposing more of the bronze, freckled chest, but stopping just before her breasts were completely visible. Then I moved to lift the gown up --just above the knees, and slid my hand under and began fingering her while watching his face,which was becoming redder, the bulge in his pants, easily apparent. She moaned softly and began spreading her legs, sliding a finger in, it almost felt hotter than normal.
I had to stop myself or I knew I was going to lose all control of the situation, so slowly I slid my finger out again, noting the slick-clicking of that well-moistened pussy. I sniffed my finger as I casually walked back over to Donny, and just when I got to him, I put my finger just under his nose and watched. I let him breathe deeply, smelling that juicy musk. He practically begged me to let him fuck my girlfriend. Asking quietly again, “Donny, what would you do to see more?” I could tell that if he got too stimulated he was going to shoot off in his pants...which I didn't want. Hastily he whispered, “Anything you want, just name it, please!”
Wondering how far I could push this, I thought of the worst thing I could do“I want you to get some drugs and give them to your wife, I want you to invite me over after cleaning her from head to toe, and have her naked in your bed. I want her semi-conscious, so I can fuck her toothless mouth, and then, Donny, I want you to roll her onto her stomach, and hold her down while I fuck her in the ass while she screams in pain.” I swear, the squirrel-wheels in his little mind were turning; he was thinking of doing this. Realizing this, my mind began to race, “Ho-lee-shit,” I thought, “this guy is actually thinking of doing this!”
I let his cogs turn-and-burn, while I walked back over to the bed. This time I began to stroke he breasts through her gown, and her perfect nipples, with small areola began to stand out, I pinched them and she gasped. Was she awake?! I checked her eyes, and they rolled-back, like normal, to the back of her head....nope, she was out...I thought to myself, ”Goddamn, how far can I take this?!” My cock began to hurt, and my balls felt like they weighed a ton. I walked back to Donny, who was still processing all of this shit...fucker must have blown a circuit. “Well, what's it going to be?” I had to ask a little louder, to show a bit of frustration. I could see by the look on his face that he was going to say, “I can't do that!” He didn't disappoint, his squeaking squirrel-wheels must have aligned for a moment, and he said just that.
I wanted to get control again, and to break him by this point. So I walked him over to the bed, and let him slide his fingers in; I had him the instant he did. The warmth and wetness of my woman's pussy, that got him. I told him to think about it and sent him scurrying home, making sure to close the curtains, fully so that he couldn't see in after he left. I had a feeling that he would try to peek some more, but I was determined to keep him on a tight rope. I fucked her a couple of times that night, cumming hard each time, and rolled over to my side when I was finished, my cum running down her pussy.

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Anonymous
@confessions
22 Mar 2012 8:51PM
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I confess I don't get why these people keep tagging their uploads as incest, "brother and sister, mom and son" or whatever. Are they trying that bad to get hits? I saw one tagged as brother and sister incest. The guy was black and the girl was white. *He may have been a 'brother' but she ain't no sister!)Another "brother and sister" incest video where the couple talked about being husband and wife and were high school sweethearts. I give credit to those that are genuine, but for the rest - c'mon people. Get real.

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Josh1292
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@confessions
18 Feb 2012 9:27PM
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Karen Smith lay back on her beach towel, clad only in a skimpy red bikini, and thought, "This is the life." She had landed in Ibiza two days earlier with her son, Kurt, for a three-week holiday, just the two of them. It had been an especially rainy season in London and they were both ecstatic to be getting some time in the sun. Karen typically wore one-piece bathing suits but her ivory skin was so starved for color that she decided to pack nothing but bikinis, a fact that hadn't escaped Kurt's attention.

At 42, Karen looked stunning, especially compared to Kurt's friends' moms, most of who you would never care to look at naked. But not Karen. She was often compared to Sophia Loren, and she knew that the compliment men were giving her was, "I bet you'd be dynamite in the sack." Her shoulder-length chestnut hair still shimmered in the sun and her long, shapely legs were the envy of all of Kurt's friends. Her 36D chest never needed padding to fill out the prim and proper suit jackets that she typically wore to work as a real estate broker, and more than one client had taken the opportunity to cop a feel whilst they were alone in a flat. Kurt's father had been nothing more than a sperm donor and for Kurt and Karen's entire life, their relationship was just that of mother and son. Recently, however, they had become more like friends.

"I'm heading into the water for a bit, Mom, don't burn," Kurt said, standing from his towel and removing his sunglasses.

"Okay love, don't wear yourself out," Karen said with a sly grin.

Kurt Smith was an athletic 22-year-old whose average height belied the above average dick that he carried with him. It gave him a confidence that most girls were attracted to, and he always enjoyed the look on their faces when they spied his member for the first time.

He hadn't had a girlfriend for a few weeks, and accordingly, was staring at even more girls than usual. On this particular day, however, the sunny cove where they were sunning themselves had only one other family further down the beach.

As Kurt bobbed in the salty Mediterranean water, he looked back at shore and saw only his Mom.

"Fuck me," he thought, "have her tits always been that big?"

The red spandex strained to contain her large orbs and the contrast between her pale skin made the bikini glow even brighter. She stood up to stretch just now, and turned around looking at the beach bar, giving Kurt a perfect view of the cleft of her ass. The bikini had ridden up while Karen was sitting down so that it looked almost like a thong.

"I'm getting turned on by my own Mom," Kurt thought. "How sick. I mean, I know she's got a great body and there's nobody else around but c'mon, we've lived together for so long, am I really getting hard over her?"

But he was. Under the cool water's surface, Kurt's cock was growing ever larger, and he could not take his eyes off of Karen's heavy tits, barely supported by the flimsy red material. He knew that as soon as he could get his hard-on to subside, he would have to make a beeline for their villa and jerk himself off, hard.

For her part, Karen was fantasizing herself about how long it had been since she had had a good fucking. Being a mom was no longer a big part of her life with Kurt being a man, but she still could not find much time to meet quality men. It wasn't even the companionship that she longed for, but more the lurid side of sexual intimacy with a man, any man, that she craved. Holding a cock in her hand as it filled with blood and grew, the firmness it got when she tugged on it...these were things she could have with any man, and they would fulfill her sexual desires, but it was still an effort.

"I'm heading back to the villa, Mom, you need me to bring anything back for you?" Kurt broke Karen from her daze as he toweled himself off.

"No, thanks, I'll probably come back in a little while too," she said. She noticed that Kurt looked especially good today, the bright Spanish sun shining off of his sculpted chest. "If only he weren't my son," Karen thought, "I would definitely let him fuck me. Too bad that's such a hangup, that adults can't service each other sexually if they both need it."

Her pussy tingled at the thought of having their big villa together for three weeks, fucking one another on all of the furniture, in the bathroom shower, on the terrace, doggy style in front of the sliding glass door.

"How nice would that be," Karen thought, "to be able to satisfy each other's cravings and then get on with the day. I'm sure we'd both enjoy the vacation a lot more. Society.."

Kurt was barely in the door before he stripped his swim trunks off and laid back on the bed in his downstairs bedroom. Karen had chosen the master bedroom upstairs so that they would have a bit of privacy, even though there were two bedrooms on the ground floor.

"It's too bad there weren't more girls at the beach today," Kurt thought as he gently squeezed his still damp cock. "That Swedish woman from last year was the hottest thing ever."

Kurt thought back to the previous year's trip when a mature Swedish woman had set up her sun umbrella next to his. He was at the beach alone that day and feeling talkative, so he struck up a conversation with the Swede. The mother of three was in her 50s and had some lines of age on her face but her smile was dazzling and her blonde hair almost platinum, which made her deep tan even more alluring. As the day went on, they both became overheated and went down to the water together.

After floating a few feet from one another and obviously flirting, Kurt tentatively reached out to touch her waist. The mother flinched at first but then smiled broadly and brought Kurt's hands up to her large breasts. They sagged slightly in her bikini but she was completely uninhibited and swung her body around without regard for how much her tits moved, and Kurt found it very erotic. Floating in the ocean, they groped each other's bodies for a long time before going back to the sand and making out on their blankets.

Kurt moaned as he stroked his rod and continued to think back on the mature blonde woman, unaware that a mature brunette was listening to him. Karen had decided to come back to the house early for a drink, and she heard Kurt's heavy breathing as soon as she entered the villa. Seeing his trunks on the floor through his doorway, she knew he could only be masturbating.

"Oh my God, even my own son can get some relief, I wish it were easier for me." Karen threw her sarong onto the couch and slipped into a pair of high heeled espadrilles she had by the door. Their cork bottoms allowed her to get right to the edge of Kurt's bedroom before he would hear her. She didn't have any plans, but was just going by instinct.

Karen's calves were flexed from the high wedges, and she had beads of sweat sliding down the insides of her thighs. Her breathing was more ragged and she noticed with utter certainty that her pussy lips were tingling noticeably. Her son's masturbation was arousing Karen.

"If it were just as easy to use his cock as a dildo, and frig myself, then I could just...use him, and he could use me, we could both cum, and get back to life!" She was actually thinking that it sounded like a good plan, but she wasn't sure how Kurt would take it.

"If I'm matter-of-fact and a little insistent, what 22-year-old WOULDN'T like to be serviced on vacation?!" She pushed her breasts so that the nipples were closer to the inside border of her bikini top, and the dark areolas were showing. Karen stepped to the edge of the doorway.

Kurt was now pumping harder, his glans head wedged firmly on top of his fist. Eyes closed, he was moving his hips so that the bed shook slightly on the tile floor.

"Ahem."

Kurt heard Karen's noise, his eyes flew open, and he started to scoot to the top of the bed.

"Whooo, Mommm, I didn't think you'd be back so soon. Ahhhh."

"It's okay Kurt, I know what men your age do, it's not a big deal." Kurt's mom put her hand on the door jamb to seem casual and crossed her legs at the ankles. "Believe it or not, women have those needs to, they just don't talk about it. But even me, your Mom."

Kurt thought about his Mom having sexual needs and it couldn't help but put an image in his head of her being fucked over the back of a couch, hands gripping the pillows while someone, maybe him, entered her from behind again and again.

"I guess so," Kurt said. He had one hand over his crotch but his stiff member was still so engorged that his hand couldn't cover the entire thing. Kurt looked his mom over now for the first time and his eyes glazed over with lust. He thought, "I know she's my Mom but I was just in the middle of jerking off and my mind is still on sex and, fuck, would I love to mount her right here."

As if she was reading his mind, Karen stepped gingerly towards her son, her hips still cocked to the side from the angle of her tall shoes.

"Okay Kurt, I'm going to be really blunt here. We're alone for three weeks and it's going to be really difficult for us to concentrate on having fun and living if we're both sexually frustrated, do you agree?"

Kurt gulped but nodded his head in agreement. "Where can she be going with this?" he thought.

"So," Karen said walking to where Kurt's knees hung over the edge of the bed, "why don't we come to an understanding." She squatted so that her face was level with Kurt's hips, her big tits suspended in mid-air for her son to gawk at. The mirror at the foot of the bed allowed Kurt to see his Mom's ass too, as she bounced slightly on her haunches.

"Why don't we just say that, while we're here in Ibiza, we can do whatever we want to each other. Sexually." Karen licked her lips, the sexy mature woman now certain that this was exactly what she wanted.

"'Sexually'?" Kurt stammered. "So, what do you mean, DO whatever we want?"

"We tell each other when we need relief, and we use each other's bodies to get that relief. No judgments, no guilt, no awkwardness or hiding around." Karen's hands were roaming her body now, feeling her breasts and pushing them together as if in anticipation of what her son was going to do to her.

"Well...I mean, I would love to, but are you sure?" Kurt asked, smiling. "I get horny pretty often and usually jerk off three or four times a day."

"That's fine, Kurt, if you need me to service you five times a day, that will work too." Karen closed her eyes while she spoke and reached around behind her to undo her bikini top. "I might need you to...FUCK...me, every night if you can handle it." Karen drew out the word 'fuck' to gauge the impact on her son and it rightly threw him for a loop.

Kurt moved his hand from covering his cock and began stroking it again. "I think I could use some help now if you wouldn't mind, Mom."

Karen grinned and crawled onto the bed on all fours, her wedges still on her feet. "That's fine, son, don't worry. Mommy will take good care of you."

And with that she used her left hand to push Kurt's chest so he was flat on his back, and with her right she grasped his cock, her own son's cock, and began pumping it.

"Is this alright?" Karen asked innocently. "Is it okay if I suck on your cock? Suck on it until I make you cum in my mouth? Would you like that?"

Kurt was shaking now, his cock so ready to be serviced. He had needed to cum since he saw his Mom's big, full tits on the beach and had been jerking off for a few minutes before he came home. He needed his Mom to suck his cock and he needed her to deep throat it.

"Deep throat my cock, Mom." Kurt said uncertainly. "Please."

Karen laughed an evil laugh. "Don't say 'please', son. When we're servicing each other and helping each other to cum, treat me like a slut. That way it will be more of a separation between our normal time and our fucking time. We don't want you getting hard thinking about fucking your Mom's pussy in the middle of dinner."

And with that, Karen leaned down, her brown hair tussling over her son's stomach, and engulfed the length of his thick shaft in her hot, wet mouth. She hummed and moaned as she slobbered up and down on his slippery tool.

Kurt moaned loudly with ecstasy. "Fuuuuck, Mom, that's so gooood!" He shut his eyes and put his hands on top of his mother's head as she gulped up and down on his dick.

"Fuck his dick is so HOT!" Karen thought. "Not just big and smooth but actually physically WARM!" Her pussy was drooling already just thinking about having it inside of her. Her own son, Kurt, would soon have his dick buried inside of his mother. Karen swooned and blew her only child with renewed vigor. She was determined to suck him off quickly so that he would know how good she could be. She wanted to be a good dirty slut for her boy.

"You like that?" Karen asked in between slobbers. "You like your slutty Mom blowing you, Kurt? Sucking on your cock in your own bedroom? It's so naughty but I think we both know that we need to be helping each other cum on this trip, don't you?"

She went back to his dick with all of her attention, using one hand to stroke her son's dick up and down, the other to squeeze and cup his balls.

"Yeah Karen, suck it, suck my fat cock," Kurt said, getting into the spirit of his Mom's game. "Make me cum in your mouth, I need to cum." "Call me 'Mom'" Karen said, stopping just long enough to look her son directly in the eyes so that he knew exactly what it was they were doing. Getting a blowjob from his Mom.

"Mom, keep sucking my dick. Suck it now you slut." Kurt smiled even as he said this rudest of instruction.

Karen laughed and went back to work, servicing her son's dong. Kurt then grabbed her ass and slapped one of her cheeks, hard.

"I've wanted to do that all day," he said. "Here, swing around so you can sit on my face. I want to taste your pussy, Mom."

Karen couldn't believe it, her swollen lips needed attention badly and she was thrilled that her son wanted to eat her pussy.

"Ohh baby, that would be amazing. I'm just going to move around," Karen worked her hips and swung her knee over her boy's head so that they were in a perfect 69 position, her snatch just above Kurt's mouth and her own mouth still locked onto his dick.

"That's it, c'mon, sit on my face, Mom. I want to lick your pussy."

Karen obliged and moved her knees to the side so that her wet pussy was smashed onto her son's face.

"Ohhhh," she cried out. "Yeah, that's it, eat Mommy's pussy. Shove your tongue all the way into Mommy's little cunt hole." Karen squirmed around on top of her son, sitting back on his face so he could get as much of his mouth around her sopping pussy as possible.

"Keep sucking me, keep sucking my cock, Mom!" Karen had her lips at the base of her son's cock, tonguing the length of it. She was happy to suck his dick all day but she needed it's hardness inside of her.

"Okay, now it's my turn." She crawled off of her son's face and walked into the living room. Still wearing her heels, she bent at the waist and leaned over the couch. "Just fuck me, Kurt. Fuck me hard, and fuck me as fast as you like."

She wagged her ass back and forth and Kurt thought he might faint before he got to her. Sliding up behind his mother, Kurt aligned his hips with hers and guided his dick between her drooling pussy lips.

Karen shuddered as she felt her son's big thick cock slide inside of her. She leaned backwards and slammed her ass against Kurt's pelvis. The shock made him shuffle his feet but he soon found his footing and began moving back and forth more easily.

"Oh fuck, Mom! Your pussy feels so fucking good!"

"Much better than jerking off?"

"Fuck yeah, so much better."

"Good. Any time you want to fuck me, you can fuck me. If you want a blowjob, ask me, and I'll suck your cock. I just want to milk the cum out of you whenever you need it, and in return, I want you to fuck my pussy when I need it. That's only fair, isn't it?"

Kurt was into it now, drops of perspiration dripping onto his mother's pale back. He reached underneath and squeezed her utters together, still barely believing that he was inside of his Mom, fucking her with abandon. It was unreal that earlier in the hour, they were sitting side-by-side and not touching one another.

"You like it, don't you son? Fucking your mother? Fucking her wet pussy without caring who sees it?"

Karen abruptly pulled Kurt's cock out of her pussy, turned around and slapped him across the face. He could hardly believe what was going on but Karen was still smiling that devilish grin. She walked over to the couch and kneeled, sticking her ass up in the air.

"Come fuck my cunt, son. Fuck your mother's wet cunt until she cums. Can you do that, son? Do you mind shoving your thick cock inside my sopping pussy until I cum? You can just use me, you know. Use me like a fuckdoll, if you wake up in the middle of the night and need to get off, come into my room, lift my nightdress, lather your cock up with some spit and fuck me."

Kurt scrambled around the sofa and climbed onto the couch, placing his feet on either side of his Mom's knees. He braced himself on her lower back and slid down, impaling her sodden quim onto his stiff prick.

"I'm going to fuck you at least twice a day, Mom, I just hope you're okay with that."

Karen moaned and leaned back, not believing that her pussy was filled completely by her son.

"Just keep fucking me. When we're tired we can go back to the beach but for now, I just want you to get off. Just fucking use me to cum like some kind of slut."

Kurt fucked and fucked until he felt like his balls were going to explode.

"I'm going to cum now, Mom. Gonna cum, where do you want it."

Karen was frigging herself madly, not wanting it to end but wanting to see her son get off even more.

"When you're about to cum, pull out and cum on my face. I want to suck the last drop of cum out of you."

Kurt grabbed his mother's hair as he pumped furiously into her dripping pussy and at last felt like he was going to cum.

"Ahhh, I'm gonna cum!"

"Cum baby, fuck your Mommy and cum on her face. I'm such a fucking slut for my son's cum, cum in my face!"

Kurt pulled out as Karen spun around, still drooling from being fucked so hard. She stuck her tongue out and licked whatever part of Kurt's dick wasn't being jerked and he began shooting rope after rope of cum over Karen's beautiful face. Karen was finger fucking her cunt and began squirting all over the floor at the same time.

The scene was surreal as mother, still in heels and bikini bottoms, pulled to the side, rubbing herself madly as her son towered over her and shot his hot cum all over her pretty face.

At last, Kurt slumped onto the couch. "Wow. That was fucking unreal."

"Just wait until dinner," Karen said throatily, sliding her finger over her face to wipe the cum off. "I think we're going to have an interesting few days." She laid on her back, her big tits flopping to the sides, and began contemplating the next place she wanted to fuck her son.

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@confessions
23 Sep 2012 2:11PM
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Only for my friends from Motherless, a scat story in french.

Uniquement pour mes amis de Motherless, une histoire scato en franais.

http://www.eroticostory.com/Veronique-la-salope-chieuse.html

Extrait:

--- Mets tes doigts dans mon anus et gote-les. Habitue-toi au got de ma merde.

En disant a, je ralise que ce qui s'en vient sera beaucoup plus excitant. Je suis son conseil, car s'il est vrai qu'on peut aisment goter sa propre merde, goter celle des autres ne se fait pas aussi facilement surtout lorsqu'on en est notre premire exprience. Je tente d'introduire mon doigt, mais l'accs est difficile. Elle me dit;

--- Mouille ton doigt. Enduis mon cul de ta salive et entre-le bien au fond.

Je l'coute. Elle avait raison, la salive facilite la pntration. J'introduis donc mon doigt dans son anus et je le retire ensuite. Il y a un peu de jus sur mon doigt, mais peine. Je le gote du bout de la langue. La saveur est loin de me dplaire. Je lche mon doigt en entier. Il a un got sr et quelque peu amer. Je remets ensuite mon doigt dans son cul pour le retirer aussitt et le mettre dans ma bouche. Ce premier contact avec les excrments de Vronique promet pour la suite. Je sens dj que nous allons passer une trs belle soire elle et moi.

Histoires rotiques, gifs anims XXX, eroticostory

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VirginieSnini
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@random
08 Sep 2015 1:55PM
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Salut à tous les jeunes mecs.
Moi c'est Virginie , 51 ans à ce jour. Je suis une salope mature blonde qui aime les jeunes bites.
Une jolie pétasse blonde aux seins moues qui commencent à tomber, ce qui va de soit par mon âge.
j'aime être traiter comme un chien désobéissant. J'aime le sperme sur mon corps et surtout dans la bouche pour l'avaler, son gout est exquis. J'aime recevoir des coups que cela soit des gifles ou des coups de pieds pour me faire obéir ou me faire sentir que je ne suis qu'une chienne. La soumission comme à un animal m'excite.Je suis soumise et docile à la supériorité de l'homme. On peut me dresser car je suis soumise au plaisir de la queue. J'aime la voir se mettre à grossir et la voir lâcher son jus que je lèche même sur le sol à quatre pattes comme un chienne qui à faim. Les jeunes adorent me voir à quatre pattes comme chienne lécher la semence répandu parterre.
Les mecs font ce qu'ils de moi.
Me faire prendre n'importe où ne me dérange pas. Se sont les autres que cela peut déranger et je m'en fou. Ils ont qu'à apprécier ce moment au lieu de faire les pudiques.
Je suis devenue avec l'âge une folle des queues jeunes. Ces beaux corps me font envie plus que tout. Je peux vous que suis bien servie, ils sont affamés de femme mure tous ces jeunes.
Bizx Virginie

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@confessions
12 May 2010 12:30PM
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j'ai il y a un moment chloroform mon petit neveu ags de 12 ans; j'avais envie de le voir tout nu .une fois endormis je l'ai deshabill allong ensuite sur le ventre (voir photo) et caress longuement ces fesses.je l'ai ensuite retourn et caress son petit sexe mais je n'ai pas t plus loin je l'ai ensuite rhabill j'ai envi de recommencer

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Ch0wdah
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@requests
16 Mar 2021 1:32AM
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Any women up for incest RP? Preferably bro/sis or mon/son.
If we both like it, possibly make it an ongoing taboo RP storyline. Bonus: I will tell you about me and my gf’s bro/sis rp we have going.

agit./Pop
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Frenchsexe
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@confessions
30 Sep 2013 12:40AM
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Il est fréquent que j'aille courir après le travail. Mais cette fois c'était nettement plus agrèable. alors que j'arriver dans un coin des bois, j ai remarquer une jolie jeune fille nu ce caresser la chatte. Quand je me suis approché j'ai été surpris de son invitation à la rejoindre. Elle à alors pris mon sexe entre ces main et a commencer à l'entourer de ca bouche pour me sucer à fond. Pris d'une forte erection j'ai commencer à doigter sa chatte toute humide et serrer. elle a ensuite tendu son cul vers moi pour que je la penetre brusquement et je les culbuter sauvagement jusqu'a ce que mon foutre remplisse sa jolie chatte. Il est prévu de ce revoir au même endroit. Si vous voulez en savoir plus et pourquoi pas avec une photo dite le moi ;)

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@chicks
05 Dec 2024 12:59PM
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Marie-Jeanne Salope BCBG bandante. A 60 ans Maillot de putain, exhibant ses gros seins. Juste à côté de son petit-fils excité comme un porc et très très content. Cette salope adore Jouer les allumeuses. Tous mes copains voulaient lui sucer et malaxer ses gros nichons. Dans tous ces maillots et décolletés de salopes. Qu'elle mettez. Sous les yeux de mon grand-père, jaloux. De moi même lol Et de tous les hommes aussi, bien sûr.

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